Naturisme, échangisme et compagnie

Quelque part entre naturisme et exhibition, le libertinage s'est fait une place de choix sur les plages de France, en particulier au Cap d'Agde. Quitte à cohabiter avec des naturistes "purs et durs" pas coquins du tout.

Une cohabitation qui ne se fait pas sans heurts. C'est pourtant peu de dire que le Cap-d'Agde et son village naturiste sont réputés de longue date auprès du grand-public comme de hauts lieux de la France coquine. A peine avez-vous franchi les portes du village (moyennant une inscription payante de vous ou d'un véhicule) que les pubs pour les clubs échangistes (Glamour, Extasia, Jul's...) vous sautent aux yeux.

http://www.ideeslibertines.com/04articlenaturismelibertinage.html

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Par FBI (France Bisexualité Info) - Publié dans : presse info faits divers - Communauté : bisexuel et fier de de l'être (FBI France Bisexualité Info)
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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 11:41

Agression sexuelle sur un enfant de 7 ans

COMPARUTION IMMÉDIATE

Caresses coupables à l'abri d'un kiosque

mercredi 25.05.2011, 14:00

C'est dans un de ces kiosques que l'agression sexuelle a eu lieu.

Depuis un peu plus d'un an et demi, Kévin (*) traînait un lourd secret. Celui qu'il partageait avec le prévenu, de 15 ans son aîné, Jean-François Van Reckem.

« Il n'arrivait pas à le dire à ses parents », rapporte l'avocate de la famille.
Les faits se sont déroulés durant l'été 2009. La famille de Kévin habite à proximité immédiate de la plage de Malo-les-Bains. Les parents ont pris l'habitude de les laisser jouer sur le sable, à deux pas de la maison.
Entre la maison et la mer, il y a une rangée de kiosques, petits abris de plage loués pour quelques jours ou la saison. Les parents de Jean-François Van Reckem louent depuis des années, un de ces kiosques, autour desquels les familles se retrouvent, où tout le monde finit par se connaître.

2 euros,
le prix du silence ?

Le prévenu connaissait justement la victime avec qui il jouait au football de temps en temps. Ce jour d'été, rapporte le président, Kévin a soif, il demande à boire. Le jeune garçon rentre dans le kiosque, c'est à ce moment que les faits se seraient déroulés. « Il y a eu des contacts d'ordres sexuels, vous avez demandé à Kévin de l'embrasser, puis vous lui avez mis la main dans le slip, avant de saisir sa main et de la mettre dans votre slip », explique le président.

Le prévenu remet ensuite une pièce de 2 euros au jeune garçon, pour acheter son silence. Le prévenu parle, lui, d'une brocante.

C'est en janvier dernier que le petit Kévin, qui aura 10 ans en septembre, a parlé à ses parents de ce qu'il avait vécu. Recroiser le prévenu il y a peu, quasi à l'endroit des faits, l'a poussé à parler. Son père s'est ensuite présenté au commissariat de police où le garçon a été entendu.

Inconnu de la justice jusqu'alors
« Plusieurs des copains de Kévin ont également été entendus, poursuit le président en s'adressant au prévenu. Ils vous connaissaient tous, vous entraînez au football des jeunes entre 10 et 12 ans, la même tranche d'âge que Kévin. Tous disent qu'ils n'ont jamais eu aucune difficulté avec vous. » C'est la première fois que Jean-François Van Reckem se retrouve devant un tribunal. Il reconnaît les faits : les caresses intimes et l'échange de baiser.

« Qu'est ce qui s'est passé dans votre tête ? À ce moment, vous aviez une compagne pourtant... », interroge le président. Le rapport psychiatrique indique que Jean-François Van Reckem jouit d'une bonne capacité intellectuelle et ne semble souffrir d'aucune pathologie particulière. Il serait en revanche, selon sa mère, particulièrement angoissé par l'absence de situation professionnelle stable.
Son avocate intervient, elle précise qu'un mal le ronge, qu'il n'est pas b

http://www.lepharedunkerquois.fr/actualite/Faits_Divers/2011/05/25/caresses-coupables-a-l-abri-d-un-kiosque.shtml

NDLR : allez dans un an, il est dehors et pourra recommencer :( noussommes contre la peine de mort et le resterai, nous sommes pour une perpétuité réelle pour les pédophiles et autres agresseurs sexuels, et nous assumons !

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Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 22:45

POUR CONTINUER, YAGG A BESOIN DE VOTRE SOUTIEN!

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Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 19:36

l'enseignant bisexuel rencontre une protistuée et une mineure

L’enseignant, indigné, veut faire recours

Liens en relation avec l'article :

Un enseignant dérape gravement: il est révoqué!

| 27.04.2011 | 23:59

U Contacté hier, le professeur révoqué se montre «indigné» par la décision du Conseil d’Etat. L’homme enseigne toujours dans son établissement. Cela lui est possible jusqu’au 31 juillet, date à laquelle la sanction prendra effet. Entre-temps, il compte déposer un recours auprès de la chambre administrative de la Cour de justice. Car il estime que la sanction est disproportionnée: «Je n’ai jamais reçu une plainte d’un élève, de parents, d’un directeur. Il n’y a rien dans mon dossier. J’ai eu l’honnêteté d’avouer ces faits, que personne ne pouvait prouver. Je m’attendais à ce que le Département de l’instruction publique m’envoie un blâme.» Il reçoit finalement la sanction la plus lourde pour un employé de l’Etat. «Je ne serai plus fonctionnaire, je ne serai pas recasé», affirme-t-il. Une perspective qui l’«angoisse», confie-t-il.

S’il reconnaît une partie des faits, il relativise. «Lors de ce voyage d’études en 2006, j’ai effectivement emmené une prostituée dans ma chambre d’hôtel. Il était 2 h 30. C’était de l’ordre du privé. Cela n’aurait pas dû se faire, c’est vrai. Mais il y a pire, par exemple quand des élèves me racontent que le professeur accompagnant est bourré…»

Concernant la rencontre avec un mineur, mais «sexuellement majeur», il s’explique: «Au départ, j’ai rencontré une personne sur un site Internet, sans savoir qui elle était. Je ne l’ai pas rencontrée pendant mes cours, mais pendant une pause de dix minutes à un quart d’heure. C’était dans un couloir de l’établissement. C’est vrai que c’est con, mais c’était plus pratique. J’aurais pu aller dans un bistrot à cinquante mètres de l’établissement et cela n’aurait plus regardé le Conseil d’Etat. Alors, oui, c’est de l’imprudence.»

Et la menace exercée sur l’élève en question? «C’est un emportement sur le coup, par rapport à des propos qu’il a tenus», lan

http://www.tdg.ch/node/334454

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Vendredi 1 avril 5 01 /04 /Avr 06:42

Le « bourreau de Beaumont » jugé « sadique »

SEMI-LIBERTÉ REFUSÉE

Le « bourreau de Beaumont » jugé « sadique »

JEAN-FRANÇOIS RACINE

30/03/2011 20h31

Plus de 14 ans après son incarcération, le tristement célèbre « bourreau de Beaumont » vient d’échouer dans sa tentative d’obtenir une semi-liberté puisqu’il est toujours jugé violent, dangereux et sadique par la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC).

L’horrible histoire est connue. L’individu aujourd’hui âgé de 51 ans était admissible à une libération conditionnelle après avoir purgé au moins 10 ans de sa peine de 22 ans. La sentence a été imposée par le juge Jean-Claude Beaulieu en janvier 1997. Dans une décision de cinq pages, quatre commissaires ont refusé sa demande de libération le 21 mars dernier.

« Épisode psychotique, pédophilie bisexuelle, personnalité borderline, sadisme », le document de la CNLC regorge de qualificatifs extrêmes pour décrire le personnage qui est sous médication. Les programmes et autres thérapies à l’intérieur des murs n’ont pas donné de résultats significatifs.

« Vous auriez cessé relativement récemment de vous automutiler les parties génitales et de vous étrangler », peut-on lire. Malgré tout, la commission fait état de « progrès notables » même s’il est toujours incapable de démontrer une réelle empathie pour les atrocités subies par les victimes. Le criminel se considère désormais comme un homme agresseur et non plus seulement comme un enfant victime. Il a souvent utilisé la manipulation et le mensonge pour tromper les intervenants.

Risque inacceptable

« Vous niez toujours être aux prises avec des déviances sexuelles. » Le risque de récidive dans un crime sexuel ou violent demeure élevé. Avec un encadrement important, ce risque est jugé

http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/faitsdiversetjudiciaires/archives/2011/03/20110330-203110.html

NDLR : en France, il serait DEJA dehors..... :..(